Datacenter green : pour un impact environnemental réduit
Les datacenters green tendent à réduire leur consommation énergétique
Externaliser son système d’information au sein d’un datacenter permet de réduire les coûts et les dépenses associés à l’achat de l’infrastructure, du matériel et à sa maintenance, puisqu’ils sont en partie supportés par l’hébergeur. Toutefois, les centres de données restent des infrastructures consommatrices d’énergie dont le fonctionnement a un impact en termes d’émissions carbones, qu’il faut réussir à maitriser. Cela demande d’optimiser la consommation énergétique, élément primordial à la réduction de l’impact environnemental du datacenter. Le datacenter green adista Cyrès a été pensé dans une logique de développement durable dès sa création. En région Centre, il fait aujourd’hui partie des centres pionniers en matière de green IT, intégrant des technologies de refroidissement lui permettant une efficience énergétique.
Datacenter green et freecooling
Pour fonctionner en toute sécurité et assurer une disponibilité totale des services hébergés, les infrastructures informatiques concentrées dans un datacenter ne doivent pas surchauffer. Le refroidissement des serveurs est donc indispensable et nécessite l’utilisation de systèmes de climatisation élaborés mais parfois énergivores.
Doté d’une technologie de freecooling unique en France, le datacenter green adista Cyrès rentabilise au maximum ses ressources naturelles pour rafraîchir les salles informatiques sans avoir à « produire du froid ». Le circuit de freecooling mis en place recycle les ressources nécessaires au fonctionnement des systèmes de refroidissement, telles que l’air et l’eau. Cette technologie joue un rôle important dans la diminution de la consommation énergétique du datacenter, exprimée par le PUE (Power Usage Effectiveness). En utilisant cette technologie « green », le datacenter adista Cyrès affiche un PUE inférieur 1,20 à pleine charge, l’idéal théorique étant de 1.
A ce titre, le datacenter adista Cyrès a été labellisé en 2016 par le Europe Code of Conduct for Data Centers.