adista, 1er opérateur cloud et connectivité alternatif B2B français recrute les talents de demain
Alors qu’en 1998 France Télécom perdait son monopole, ouvrant la voie aux opérateurs alternatifs, une petite SSII entrait dans un réseau d’initiative publique et prenait son envol. Que de chemin parcouru depuis pour adista !
Son Directeur Conseil en Transformation Numérique, Michel Oury explique comment adista s’est réinventée pour devenir leader sur son marché.
Entré dans le monde du conseil SI par la petite porte des télécoms, adista s’est hissé en quelques décennies au rang de 1e opérateur cloud et connectivité alternatif B2B.
« Notre métier historique d’opérateur a peu à peu été complété par nos expertises en hébergement, infogérance et cybersécurité. Nous sommes aujourd’hui structurés autour de trois entités complémentaires : adista (en vente directe), unyc (en vente indirecte via un réseau de partenaires) et cyberprotect (expert en cybersécurité avec notamment son « Security Operation Center ») rassemblés sous la marque ombrelle inherent qui a vu le jour en 2022 » explique Michel Oury.
Expertise et proximité, le combo gagnant
Pour relever ses défis, adista s’entoure « des meilleurs experts dans leurs domaines, ce qui nous permet de nous prévaloir de compétences pourtant rares (experts IT, administrateurs systèmes, ingénieurs réseaux etc.) sur notre marché en tension. adista rassemble aujourd’hui 1 300 collaborateurs et recrute en permanence pour enrichir ses équipes. Pour preuve, 150 à 200 postes (dont environ 40 alternants) sont d’ailleurs à pourvoir d’ici septembre 2025. Par ailleurs, et c’est notre seconde force, nos équipes sont réparties sur tout l’hexagone, avec 40 agences et 14 datacenters en régions. Cela offre un maillage optimum pour les clients et, pour les salariés, de nombreuses opportunités de mobilité interne » explique Michel Oury.
Mettre son talent au service du sens
adista offre ainsi l’opportunité de conjuguer soif de défis technologiques avec sens et responsabilité. Dans le groupe, en effet, on ne badine pas ni avec la QVT, ni avec la RSE ! Des politiques volontaristes qui s’illustrent par exemple avec les trois jours accordés aux salariés pour s’engager dans des projets solidaires, ou l’optimisation énergétique de ses datacenters.
« Nous utilisons des compteurs mesurant les PUE (Power User Effectivness) afin d’adapter l’énergie consommée, et celle réellement nécessaire aux serveurs. Nous avons aussi beaucoup investi pour nous équiper en freecooling (procédé de rafraîchissement) ou en panneaux photovoltaïques. Nous avons même réhabilité un ancien entrepôt frigorifique pour en faire notre datacenter à Tours. Car le bâtiment le plus écologique c’est celui qu’on ne construit pas ! » cite en exemples Michel Oury.
En ce moment, il y a plus de 50 opportunités de nous rejoindre partout en France !
Article issu de l’interview du Monde des Grandes Ecoles Magazine – septembre 2024 (Valérie Macquet)